Thursday, June 25, 2009

L'homme madrilène

Aujourd'hui, je voudrais écrire sur une classe de humains que je connais très bien, puisque j'ai fait mes études universitaries à Madrid, j'ai amis de Madrid e j'ai travaillé (et travaille) à Madrid pendant neuf ans. Ça est l'homme madrilène.

L'homme madrilène a un camarade inséparable, qui est toujours avec lui: sa voiture. Il guide la voiture pendant tout le jour, pour faire des choses très simples comme acheter le journal. Mais, toujours dans routes de double voie. Pour lui, les routes simples ne existent pas, ils sont, plus or moins, comment les licornes. Puisque sa relation avec la voiture est aussi étroite, il pense que la voiture doit aller au garage très souvant, pour faire des révisions obligatoires et volontaires. Tout ce qu'il obtienne avec ça est enrichir les garages.

Selon l'homme madrilène, Madrid est le centre du univers et au-delà il y a rien. Une ville que n'a pas un million des habitants (par exemple, Francfort ou Porto) vient défini comme "un village". Et un village est défini comme... "quatre maisons perdues". Et quatre maisons perdues sont définis comme... Les habitants des villages sont des ploucs, qui encore portent bêret et qui ne se sont adaptés a la vie moderne.

Aussi, l'homme madrilène est le mieux à acheter des télés bon-marchés, à éviter des emboutellaiges par routes inconnues, à faire la fête, à payer moins d'impôts, à trouver la mieux école pour ses enfants, à avoir le dernier portable gratis, etc.

Malgré ces idées et si on ne s'en prendre très serieux à eux, il est possible d'apprécier l'homme madrilène et le fait qu'il oublie rapidement d'où on viennt.

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