Il y a quelques jours un torero espagnol a été blessé dans son visage par un taureau. Les images avec la corne en entrant pour son joue et en sortant à travers l'oeil sont vraiment apeurant. Cette fois je n'ai le courage de mettre une photo ici. Un collègue torero, avec des autres, lui a porté au hôpital dans l'arena et est rentré a tuer le taureau, qui avait blessé le collègue. Ce qu'il a vu dans le chemin au hôpital doit avoir été horrible. Avec des larmes dans ses yeux, il l'a fait. Et cinque minutes après, il a dû s'occuper de son taureau. Une fois fini, il a pleuré comment un enfant, mais sans cri, sans spectacle, sans honte, sans excuse.
Ce que je viens de décrire nous peut donner une image du matériel spécial avec lequel les toreros sont fait. En laissant de côté se on est en favour de ou contre la tauromachie, on doit reconnaître le courage et l'honneur que distinguent aux toreros. Beaucoup entre eux ont eu des coups de cornes très graves et quelques jours plus tard ils sont retournés à toréer. Quelques, en saignant assez, ont refusé d'aller au hôpital jusqu'à ils ont fini avec leur taureau. Rien à faire avec footballeurs et des autres sportives qui exagérent leurs douleurs toujours que possible.
Donc, d'ici, mon admiration pour les toreros: des hommes très, très spécials.
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