Nous avons eu élections le dernier weekend et il semble qu'on doit parler un peu sur ce fait. Donc, on y va.
Les élections ont été influencées par le terrorisme, comme d'habitude, malhereusement. Un ex-conseiller municipale a été assassiné dans le Pays Basque. Il était socialiste et quelq'un (qui s'appelle lui-même "soldat") a dû penser que ça était suffisant pour finir avec un vie. Il y a quattre ans, le terrorisme islamique nous a attaqué et cet année était le tour du terrorisme basque.
Mais il est vraiment surprenant comment l'Espagne s'est habitué à la démocratie en moins de 30 ans. Nous sommes un example pour toutes les pays du monde, en ce qui concerne la transparance, la participation, la vitesse dans la racconte et l'absence des incidents (sauf, comme d'habitude, dans le Pays Basque). Ce fois trois sur quattre citoyens a participé aux élections, malgré notres politiciens.
Mais, il y a toujours un "mais", les journalistes n'ont pas su comment s'agir. D'abord, dans les deux débats entre Zapatero et Rajoy, le journaliste a joué le rôle d'un notaire ou un arbitre, sans pouvoir faire une question aux candidats. Il a contrôlé les temps du chaq'un et c'est tout. Simplement, pathétique. Cette situation ridicule vient du fait que le journalisme est divisé en deux factions, selon le parti politique qui les finance. L'indépendance n'y existe pas. C'est dommage.
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