Il y a cinq jours, j'ai appris la nouvelle de ta mort en accident de voiture, Marie. Tu étais ving-et-un ans et tu avais milliers de projets à faire, tu étais trop jeune. Nous ne avons pas parlé souvent dans la classe de français, mais nous étions ce qu'on appele connus. C'est-à-dire, tu parlais et j'ècoutais, parce que tu parlais beaucoup... Cette année, je t'ai vu seulement un jour: tu me as demandé s'il serait possible de partager le livre.
Malhereusement, la vie ne t'a pas donné l'occasion d'utiliser le livre. Tu, qu'avais fais le troisième niveau trois ou quattre fois, et que finalement tu avais reussi à commencer le quattrième année, n'es pas entre nous. C'est injuste.
Je souhaite que tu aies profité de la vie, de tes 21 ans, de chaque jour et de chaque matin (même le matin du jeudi, le maudit matin du jeudi). En fin, enchanté de t'avoir connu et au revoir, Marie.
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